Le 26 janvier nous nous faisions l’écho de l’émission « Vert de rage » de France 5.
Nous regrettons cependant que ces analyses ne se pratiquent qu’en réaction à des actions médiatiques alors que l’on attend des institutions un travail prospectif et pédagogique.
Le 10 avril dans le journal Sud Ouest , par la voix de Mme Sarrade nous apprenions : «Aucune tentation, chez la responsable, de minimiser l’inquiétude que suscite cette découverte. Même lorsqu’elle rappelle que les quantités révélées sont « infinitésimales : 0,1 microgramme par litre pour l’une qui est le seuil de détection et 0,044 ùg/l avec un seuil à 0,03 »;
🧐 Nous sommes surpris car les 2 taux d’enfants ayant participés à l’étude et que nous avons p voir, sont beaucoup plus élevés : TPHP /3,70 ùg/L et 3,30 ùg/L – TDCIPP : 1 ;08 ùg/L et 0,65 ùg/L
🔎 Nous sommes aussi surpris de l’amalgame : retardateurs de flammes (ex TDCPP et le TPP ) et PFAS* anti-adhésifs
❌ Il y a bien un point commun entre ces molécules omniprésentes dans notre environnement ce sont des CMR : Cancérigènes (qui génèrent des cancers )Mutagènes ( qui provoque des mutations)et Reprotoxiques, de plus ce sont des perturbateurs endocriniens ou hormonaux .
☝🏻Nous aurions aimé que nos élus soucieux de notre santé nous expliquent que pour ces toxiques il n’y a pas de dose seuil. Ce sont les microdoses quotidiennes qui sont responsables des pathologies : on parle d’effet cocktail !
🧪Qu’il nous disent aussi que pour se protéger il faut faire l’impasse sur les produits chimiques.
🌱 Revenir à des matériaux traditionnels, éviter les plastiques, les revêtements anti adhésifs et tissus synthétiques autant que possible .
💦 Quant à l’eau de boisson, c’est un problème car nous devons nous en remettre à ces instances.
👉🏻 Cependant, nous vous recommandons , après avis d’endocrinologues de filter votre eau ,et de vérifier votre taux d’iode dans les urines
Berkley, Brita… on n’est pas sûr à 100% de leur efficacité mais cela filtre de très nombreuses particules indésirables de votre eau de boisson .